Description du capitalisme onusien

Le capitalisme actuel est installé trop profondément pour pourvoir le réformer efficacement, seule la création en parallèle d'un nouveau capitalisme pourra assurer le succès de ce dernier.

On a tout essayé en terme de régulation sans grande avancée, les paradis fiscaux sont toujours là, malgré les affaires du type "panama papers" qui ont jeté un pavé dans la fourmilière trop bien organisée. Malheureusement, l'évasion fiscale a encore de beaux jours devant elle et ce capitalisme financier également bien que les crises financières successives l'aient quand même ébranlé.

Les immenses richesses de l'espace ferait exploser le capitalisme financier actuel

Les richesses immenses de l'espace le ferait exploser en crise systémique largement plus grave qu'en 2008, les acteurs financiers seraient devenus plus qu'obèses, surpuissants et finalement incontrôlables par la communauté internationale qui ne pourrait cette fois les sauver et entraineraient les pays dans leur chute.

L'alimentation initiale de ce capitalisme démocratique se fera essentiellement par la nouvelle banque centrale de l'ONU et ses financements gigantesques 

Le financement stratosphérique de travaux planétaires par l'ONU pour lutter contre les fléaux intéressera les Etats et les entreprises de toute la planète, cela créera un appel d'air pour des acteurs financiers se mettant à graviter autour de cette grande capacité de financement pour la bonne cause.

L'autonomie par rapport au capitalisme existant est primordiale pour un développement garanti et sans se faire absorber dès le début

L'idée est qu'il dépende le moins possible du capitalisme financier actuel de façon à ce qu'il puisse se développer et attirer les acteurs des places financières traditionnelles. Le principe est simple : l'argent attire l'argent et ceux qui en ont le plus attirent ceux qui en ont le moins par gravitation.

Les places financières du capitalisme onusien cohabiteront dans un premier temps avec celles du capitalisme financier 

Elles cohabiteront avec les places existantes du capitalisme financier. Les acteurs financiers doivent pouvoir en disposer à proximité raisonnable. Toutes les entreprises qui travaillent dans le cadre de la lutte de l'ONU doivent pouvoir bénéficier de services financiers à proximité et être cotées en bourse.

Les communications entre le capitalisme onusien et le capitalisme financier seront encadrés

Il n'est pas question que les flux financiers énormes venant de la banque centrale de l'ONU aille irriguer l'ancien capitalisme, ce serait trop dangereux pour l'humanité, il y a trop de richesses dans l'espace qui ferait exploser la capitalisme financier.

Les investissements seront permis dans le sens du capitalisme financier vers le capitalisme onusien, l'inverse sera interdit sauf piloté par la banque centrale de l'ONU.

Il s'agit d'attirer progressivement les acteurs de l'ancien capitalisme vers le nouveau. Inciter les acteurs privés à investir dans le nouveau capitalisme est positif pour l'humanité.

Les entreprises pourront basculer progressivement leur cotation dans le capitalisme onusien.

Si besoin, l'ONU pourra lancer la création d'entreprise pour lutter contre les fléaux qui menacent l'humanité

Ces entreprises seront si possible codétenues par d'autres investisseurs privés ou publics qui agiront toujours dans le cadre du nouveau capitalisme. La création permet aussi d'éviter l'obésité d'acteurs déjà importants se rapprochant du monopole. Elles évolueront logiquement dans ce nouveau cadre financier. 

La banque centrale de l'ONU pourra investir dans les entreprises qui doivent se renforcer financièrement pour participer aux travaux de lutte contre les fléaux.

Ces travaux ne sont pas réservés qu'aux grandes multinationales, les entreprises locales doivent pouvoir bénéficier d'une part du gâteau et être renforcée financièrement si nécessaire par des investisseurs du capitalisme onusien.

La partie de leurs bénéfices correspondante à leurs activités liées à l'ONU devra rester dans l'environnement du capitalisme onusien. Elle servira ua investissement des entreprises dans le même environnement et aux actionnaires qui accpetent d'investir toujours dans le même environnement.

Selon le niveau d'investissement par la banque centrale onusienne ou par les investisseurs de cet environnement, l'entreprise évoluera proportionnellement dans le nouveau capitalisme.

Les multinationales (ou autres) n'ayant pas besoin d'investissements de la banque centrale onusienne verront leur engagement dans le capitalisme onusien à hauteur du CA qu'elle réalisent grâce aux marchés alloués par l'ONU.

Leur engagement pourra aller vers une multicotation dans les deux capitalismes , les bénéfices seront répartis selon la part du CA.

Une gestion centralisée et assurée par cette nouvelle agence 

Vu l'immensité des flux monétaires à venir liés surtout à la lutte contre les fléaux planétaires, il ne peut y avoir de gestion décentralisée sous peine de voir apparaitre des paradis fiscaux sauvages et devenant hors de contrôle.

Cette agence aura des moyens de sanctions sur les flux financiers qui ne respecteraient pas la régulation validée par résolutions adoptée en assemblée générale. 

Cette agence aura des antennes dans tous les pays ayant des places financières onusiennes.

Cela parait logique ainsi que des représentations de la banque centrale onusienne.

La raison d'être de ce nouveau capitalisme n'est pas de s'envoyer en l'air dans l'espace comme le ferait le capitalisme actuel avec les richesses inestimables de l'espace ! 

Halte aux futurs empires galactiques ! 

Un empire contrôlant trop d'implantations humaines (stations spatiales ou planètes) dotées d'un territoire spatial trop large avec trop de richesses, n'est pas acceptable pour le maintien de la paix et de la prospérité. Il pourrait devenir hors de contrôle pour l'ONU et vouloir imposer sa loi aux autres par la force.

La réussite de la conquête spatiale impose de fixer un seuil de richesse économique à ne pas dépasser (Etats, multinationales, milliardaires) pour éviter la formation d'empires hors de contrôle. Plus facile à dire qu'à faire car si on a déjà vu des entreprises trop importantes devoir se scinder, on a encore jammais vu un pays devoir le faire pour des raisons économiques.

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