Réchauffement climatique - lutter contre les tempêtes et les inondations

La montée des eaux va remodeler le paysage côtier en noyant pas mal de villes dont des métropoles.

La montée des eaux va provoquer l'évacuation progressive des villes côtières sur plusieurs décennies et leur reconstruction en lieu moins exposé.

La montée des eaux en fonction de son niveau va nécessiter de déplacer plus ou moins les villes côtières tout en respectant mieux l'environnement. Ces travaux pharaoniques auront au moins l'avantage de créer des millions d'emplois. Les populations concernées vivront des moments très difficiles pendant la reconstruction, mais ce sera toujours plus facile à vivre que de devoir migrer dans une région lointaine.

Les villes sont souvent en dur (béton, briques...) ainsi que les infrastructures,  elles ne sont pas récupérables et c'est un gros défaut ! 

La reconstruction sera lente, partielle et fastidieuse, une ville ne peut être déplacée rapidement à cause des infrastructures et constructions en dur. C'est un problème insoluble actuellement, on est obligé de tout reconstruire ce qui a un coût faramineux. Seules les constructions en acier peuvent être démontées quand elles ne sont pas noyées dans du béton. Les pays côtiers devraient souffrir le plus d'autant plus qu'ils risquent de manquer de main d'oeuvre lors de la reconstruction.

Envisager des villes en grande partie "démontables" pour mieux les déplacer si nécessaire plus tard. Elles deviennent donc récupérables !

Quitte à reconstruire des villes, plutôt les rendre démontables pour pouvoir les déplacer plus vite en fonction des aléas du climat. Cela coûtera beaucoup moins cher et sera largement plus rapide à réassembler grâce à la récupération des matériaux.

Dans ce cas, l'ONU peut intervenir pour une prise en charge majoritaire du coût de reconstruction, cette prise en charge serait totale pour les pays pauvres.

Evidemment, le but n'est pas que les villes se ressemblent toutes avec ces constructions standardisées, des personnalisations pourraient être réalisées à partir de moment ou la compatibilité reste maintenue.  

Préserver l'habitat doit être la priorité en adaptant les constructions et les infrastructures pour mieux résister

Les tempêtes peuvent balayer tout sur leur passage et engendrer des inondations catastrophiques, il y a un juste milieu à trouver entre l'aménagement des zones inondables et le déplacement des habitations. Si reconstruire un village en lieu sûr est plutôt la bonne solution que de devoir réparer et de réaménager plusieurs fois, mieux vaut le faire même si c'est largement plus onéreux. 

La reconstruction se ferait selon les standards de construction amovible de l'ONU pour bénéficier de son financement

Les standards de construction amovible de l'ONU étant adaptés pour résister à de fortes tempêtes, les pays désirant adapter ces standards tout en restant compatible seraient libres de le faire à leur charge. 

Ces standards pourraient être utilisés dans les zones à risque des pays pauvres 

Les pays pauvres pourraient en bénéficier, ce serait toujours mieux que des bidonvilles qui sont balayés à chaque tempête. Le financement sera assuré intégralement par l'ONU et la construction par les habitants.

v1(3/11/22),v1.1(27/09/23),v1.2(2/12/24), v1.3(16/12/24)