Réchauffement climatique - limiter les migrations climatiques

Se préparer dès maintenant pour éviter les conflits meurtriers liés l'occupation progressive de nouveaux espaces par des centaines de millions de migrants dans ce millénaire

Il serait suicidaire de surcharger en population les régions du globe épargnées par le réchauffement climatique, l'immigration subie est source naturelle de tension chez les humains qui restent encore attachés à leur territoire, on ne peut pas le leur reprocher pour le moment, il faudra des siècles d'évolution pour se civiliser davantage.

Lancer des études rapidement pour définir les endroits et les infrastructures plutôt amovibles pour accueillir les migrants climatiques en très grand nombre ? Des études qui prendront des années, il faut tenir compte de l'environnement des ressources et des capacités de chaque région du globe, surtout que les migrants seront là pour un certain temps... Mieux vaut commencer le plus tôt possible !

Les migrations internes à un pays seront moins difficiles à gérer, la solution étant surtout nationale, le pouvoir a quand même un lourd projet à gérer, les populations locales ne vont pas tout accepter...

Des négociations seront longues et difficiles pour relocaliser (temporairement ou pas) les populations dans d'autres pays en fonction des affinités et de l'espace disponible.

L'ONU a un rôle central à jouer dans la gestion de ces migrations de centaines de millions de personnes en accord avec les pays concernés. 

Cela demandera beaucoup de temps et de négociations ardues surtout dans les migrations internationales. Elle pourra largement aider au financement grâce à un système financier complémentaire, c'est vraiment une question de survie de l'humanité et de très gros moyens doivent être mis en place.

Ces investissements massifs de l'ONU auront pour enjeu de limiter au mieux les conséquences (sécheresses, inondations...). L'objectif étant de réduire le plus les migrations climatiques surtout internationales qui risquent de générer des conflits. 

Préserver au mieux l'habitabilité des zones touchées (en luttant contre les inondations ou la sécheresse), maintiendrait les populations en difficulté sur place avec l'espoir de ne pas avoir à quitter leurs terres.

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